Paul et moi.....
Si vous ne me suivez pas sur Instagram.....
Vous ne savez pas qu'hier au soir je suis allée voir Paul Mac Cartney au Stade de France.
Déjà l'exploit pour moi c'était d'affronter le stade de France la foule me perturbe beaucoup.
Mais Paul c'est avant tout les Beatles, c'est toute mon adolescence et encore aujourd'hui, ils font partie de ma vie.
Au risque d'être une vieille groupie !
Retrouver son adolescence, avoir 16 ans à nouveau ça mérite de se bousculer un peu.
Enfiler le vieux Tee Shirt The Beatles et en route....
Donc hier au soir...... L'arrivée au Stade de France....
Whaouh! Jamais vu aussi grand
Puis ça se remplit c'est fascinant cette foule
J'étais dans les gradins, impossible pour moi d'être au milieu
Paul Mac Cartney est arrivé, toujours aussi mignon, simple, de loin toujours aussi jeune....
Toujours aussi élégant
Il ne parle pas mieux français que quand j'avais 16 ans ( Non! Non! pas de date....)
et devinez par quelle chanson il a commencé ????
Oui !
Eight Days a Week
(Comme vous êtes dans la confidence Paul et moi c'est une longue histoire
et c'était son petit clin d'oeil pour moi rien que pour moi....Meu ! si puisque je vous le dis.....
Bon! Je n'ai pas trouvé comment ramener mon film sur le blog
Alors je suis allée faire un petit tour sur Youtube.
C'est le même spectacle.... mais à Londres
Il a rendu hommage à sa femme Linda décédée
à sa nouvelle femme Nancy ( plus jeune....Bien sur !!!!)
qui était dans le stade
A son ami John et à son frère Georges avec un petit hukulélé
Quand il prend sa guitare c'est vraiment le son des Beatles......que l'on entend
Pour finir il a embrasé le stade de France pour de vrai
Fusées, feu d'artifices
et au bout de plusieurs rappels alors qu'on commencait à partir
Yesterday.......
Pour finir, c'était mon premier concert au Stade de France
Je ne vous cache pas que je préfèrerais passer une soirée dans une petite salle avec Paul, sa guitare et son piano
Mais ça a été une belle soirée et une merveilleuse cure de rajeunissement
The love you take
is equal to the love you make.”
Merci Sir Paul